(Suite
de la page 3)
J'ai trouvé que
les jeux s'étaient bien passés. Mais je
n'ai pas aimé le parcours à
l'aveuglette. J'ai trouvé que la course
en sac était difficile. Pour avancer
plus vite il fallait sauter haut.
Nous avons aussi joué au relais. Je
trouve que c'était amusant. Les jeux
étaient bien organisés sauf la balle
aux prisonniers où il manquait les
balles et le parcours à l'aveuglette où
il manquait des foulards.
ANAÏS
SPANU
On
a fait 4 équipes de 6 enfants. Les jeux
que j'ai le plus aimés étaient le
déménageur et le camp ruiné. Après
manger, il y avait un atelier danse. Puis
nous avons fait d'autres jeux et nous
sommes repartis dans leur école où nous
avons goûté.
Coralie STOCKLIN
Le
relais n'était pas prêt donc on a
attendu quelques minutes sans jouer.
J'ai bien aimé la marelle parce que
c'était facile mais le jeu que j'ai
préféré était « poules,
renards, vipères ». Les vipères
doivent attraper les renards qui doivent
attraper les poules qui doivent attraper
les vipères.
Je n'ai pas trop aimé la balle aux
prisonniers car on jouait avec des
ballons de foot. Ça nous changeait de
nos habitudes de l'école. Quelques jours
plus tard, le maître a remplacé notre
balle habituelle par une balle de foot.
C'est plus difficile de bien lancer, mais
c'est plus facile à attraper.
Aurélien BARBIER
Je
n'ai pas aimé cette rencontre car il y
avait des jeux mal organisés. Cependant
j'ai bien aimé la marelle, le relais et
poules, renards, vipères. J'ai trouvé
que la course en sac était rigolote
parce qu'on tombait tout le temps. A la
fin de la rencontre nous avons goûté.
Et nous nous sommes dit au revoir.
GUILLAUME CHARLES
J'ai
bien aimé la rencontre à Senan. Les
jeux étaient un peu différents de ceux
de l'école. Cela nous apportait de
nouvelles pratiques et je me suis fait un
ami.
Baptiste GATEAU
Ce que j'ai le
plus aimé, c'était la balle aux
prisonniers et la marelle.
Certains enfants n'étaient pas très
accueillants mais il y en a beaucoup qui
nous ont bien reçus. Ils nous ont
montré la classe et leurs
ordinateurs : ils en ont au moins
douze ! J'étais impressionné, nous
n'en avons que quatre.
Thomas POHER
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